je t’attends

Au souffle du vent , je t’entends.  Le vent sillonne dans mes oreilles , pendant que je t’attends. J’aimerais te demander de revenir , mais cela m’est impossible. Au delà , je te revois , je revois cette douceur que tu étais. Et des fois , je crie au ciel de te rendre à moi. J’implore la vie de te retrouver.

Sans aller retour , je pars , je te cherche mais ne te trouve pas. Tu es irremplaçable mon amour , je ne puis trouver quelqu’un qui te ressemble. Et à chaque larme , je te revois.

Marcher sur le passé , et ne plus y penser. À chaque pas je nous revoie.

Tout au long du grand chemin de la vie, je penserai à toi , sans jamais cesser d’y penser. Et pourtant je continue de courir le plus vite que peut pour échapper à cette vie que je dois surmonter. Je dois y faire face car la vie au fond c’est ça. Elle est semé partout d’embuscade , dans chaque coin de rue de milles dangers , mais aussi dans chaque coin du monde de merveille. Alors peut-être pour toi , j’éviterai les dangers , et découvrirai les merveilles, je les prendrais avec moi pour te les déposer.

 

bland

Je regarde tout autour de moi , le vide , le désordre , tout d’ici me parait si fade.

Je pensais que pour s’en sortir il fallait sourire , et que pour oublier il fallait danser.

Mais tout ses forces m’abandonne , rien n’a plus de sens , rien n’est plus concrès , plus rien n’a d’évidence, tout es déjà tracé.

Je n’est plus envie que sa s’arrête , pourtant ça n’a jamais été aussi douloureux.

Elle sera toujours là.

l’orage de la vie

Des mots qui blessent, des phrases que l’on n’oublie pas. Je suis partie.
Je suis partie respiré, je partis pensée, réfléchir à mon existence et aux gens qui m’entourent et à la vie, à celle qui me fait t’en mal.
Après avoir monté une grande pente je me suis retrouvée en haute d’une grand plaine, j’apercevais des 2 orages différents, un à droite et l’autre plus à gauche.
J’avais toujours trouvé ça fascinant les orages, je les regardais se battre en duel et s’approcher de moi.
La pluie commença à tomber, et j’étais dessous, mais j’étais bien.
Je regardais la foudre s’approcher de plus en plus de moi, et plus les pluies étaient torrides, plus les vents s’accéléraient, plus j’étais bien. Je voyais les éclairs en face de moi et s’approcher.
Mais je n’avais pas peur, j’avais plus peur. Je n’avais plus peur de ce qu’il pouvait m’arriver. J’en pouvais plus alors je criais à la vie que je ne supportais plus, je criais ma haine aussi fort que je le pouvais.
J’étais détrempé, mais je me suis levé et je dansais sous cet orage. Et pendant un instant je me sentis libéré, je me suis sentis vivre.

A l’été et non à nous

L’hiver c’est adoucit , l’automne à fait place au printemps. On peut déjà remarquer les bourgeons se former , quelques primverts pointent déjà le bout de leurs nez. On entend les oiseaux chanter. L’été est presque déjà la et je me demande comment je vais faire pour l’affronter encore une fois. Comment je vais faire pour surmonté tout ça sans aucune force. Comment je vais me sentir quand mes amis voudront aller a la piscine mais que je ne pourrais pas parce que j’arriverais a montrer mon affreux corps. Comment je vais faire pour aller a la plage avec ma famille ? Puis comment les gens vont me regarder , puis me fixer a tord et a travers , parce que pour eux je serais peut être trop maigre mais pour moi encore trop grosse. On annonce toujours l’été comme la saison la plus belle ,celle ou les jeunes s’amusent , la ou ils font la fête, ou les filles sortent leurs plus belles tenus et leurs plus beau maillots de bain. La ou les beaux garçons vont exposer leurs corps de rêve. La ou des amours vont se crée. L’été est synonyme de bonheurs pour la plus part des gens , car cela rime avec vacances , avec le repos de la vie intérieur. Mais pour les gens comme nous , oui je dis nous , cela est un vrai combat de douleurs , que de vous affrontez encore. L’été nous tend les bras que nous attendons déjà l’hiver.

 » son dernier souffle « 

On pouvait voir sur son visage qu’elle portait de nombreuses blessures au fond d’elle,

Pourtant elle était là à contemplé chaque fleur qui l’entourait, elle n’en laissait aucune au hasard car elle savait ce que ça faisait d’être mise sur le côté, car elle savait ce que sa faisait de ne pas être regarder, d’être inexistante aux yeux des autres.

Je la regardais admirer chaque beauté du monde, elle regardait les arbres chaque jour pour les voir grandir comme si c’était ses propres enfant. Elle contemplait le ciel, chaque nuage, car elle savait pertinemment qu’ils allaient partir

Alors je la regardais chaque minute admiré la vie comme si c’était à chaque instant son dernier souffle

une dernière rose

Pends cette sublimation , tends-moi ses fleurs , je les prends , elles sont pour elle. J’aimerais lui dire ses derniers mot , juste quelques instants, juste quelques mots. Vous avez besoin de savoir , elle a besoin de reposer enfin en paix.

 » Je sais qu’on fond de moi , je sais qu’au fond de nous , il y avait cette part de vrai , celle qui ne ment jamais. Tu m’as laissée , je peux que t’en vouloir , tu m’as laissée seul face à cet enfer , qui va m’appeler toute la nuit , qui va me réconforter pendant mes crises. Tu n’avais pas le droit de lâcher prise, tu n’avais pas le  droit de nous quitter , tu n’avais pas le droit de me quitter. Tu m’as laissé seule face au monde. Ta douleur était la mienne. Je vais devenir quoi ? Je ne me relèverais pas sans toi , tu étais mon monde. Je vivais pour nous deux , je rêvais pour nous deux, on était deux , je me retrouve de nouveau seule dans un monde que je veux quitter aussi.

T’en fais pas mon ange je vais hurler ta haine , ta souffrance qui ne s’entendait pas , je vais dire à tout le monde que tu n’étais pas la personne que tu prétendais être , je vais tout leur avouer sur toi , sur tout ce que tu leur à caché , je vais leur dire comment ils ont été aveugle , je vais leur dire que si tu en aies arrivé là c’était de leur faute. Je leur montrerai tout ce qu’ils n’ont pas pu voir , pour qu’enfin il sache qui tu étais. On c’était promis la vie , mais tu t’es offert la mort. Tu m’as toujours dit de m’accrocher , je le ferais pour nous deux. Je dois à présent porter deux vies, je vivrai pour nous ,

Et je me démène pour sortit chacun de mes mots , je bégaie mes mots trébuchent et s’entrelacent dans ma tête je suis plus capable , je ne suis pas capable de te dire adieu.                  Je t’écrirais des lettres , je déposerai des roses , pour que tu sois toujours là avec moi , sans plus un mot je te quitte comme tu l’as fait

mais juste sache que je t’en veux plus , je suis juste si triste de n’être pas partie avec toi , tu me manques , comment tout dire quand tu n’es pas là , que moi sans toi ça ne veut plus rien dire, je sais plus où partir , je sais plus qui être , quand tu es partie je me suis perdu , j’ai perdu ma moitié

 

je te laisses t’envoler , je t’aime  »

 

Stay

C’est vrai que des fois je pense à des choses auxquelles je ne devrais pas, je te l’avoue mon amour. C’est vrai que j’ai essayé plusieurs fois de mettre fin à mes jours. Mais si je te raconterai mon histoire depuis le départ resterais-tu a me cotés ? Si je te disais toute mes souffrances, tous ce que je ressens, tout ce que je m’inflige, resterais tu ? Si je te disais que chaque jour est une souffrance permanente pour moi. C’est vrai que à ce moment-là tu me demanderais pourquoi ça ne se voit pas sur mon visage, alors je te répondrai avec évidence que j’ai appris à vivre avec un masque, que j’ai appris à vivre en étant une autre personne, que j’ai appris à sourire quand j’avais envie de pleurer, je te dirai encore que j’ai appris à faire croire au monde entier que j’étais une autre personne que celle que je suis réellement. Puis après tu me demanderas comment j’ai fait. Puis je te répondrai que je n’ai pas eu le choix, que ce n’est pas moi qui ai décidé d’être comme ça, que je n’ai jamais voulue être aussi mal. C’est vrai que j’aimerai te racontée pourquoi je me prive de manger, pourquoi je suis aussi indulgente avec moi-même, pourquoi tous les quatre matins je fais un régime, pourquoi je me trouve grosse alors que tu me trouves maigre, pourquoi je pleure avant de montée sur cette putain de balance, puis juste pourquoi je pleure à chaque fois que je vois mon reflet. Je te dirai aussi mes idées noires, je te montrerai mes cicatrices, je te ferais lire mes cahiers ou j’ai écrit mes textes, mes pensées, toute ces pages qui sont remplie de vide. Oui je te montrerai tout ça, je t’expliquerai pourquoi je me fais aussi mal, je te dirai aussi que c’est presque devenu vital de me détruire. Et enfin tu me serreras fort dans tes bras en me demandant ce que tu peux faire pour moi. Et je te répondrai que personne peut rien faire, que c’est trop tard que je suis une peine perdu, ou alors je te dirai que seul moi peut me battre contre moi-même, que c’est un combat sans fin et qui ne s’arrête jamais, et que je n’en suis peut-être plus capable, que je ne ressens plus aucune force en moi pour me battre. Et si après t’avoir raconté tout ce que tu ce que tu ne savais pas, tu partais ? Si tu prenais peur ? Si tu m’abandonnais comme tous les autres, si tu me laissais seule face à moi-même, fasse à mes pensées ? Alors quand tu me poses toute ses questions sur moi, comprends tu pourquoi je ne te répondais pas, quand tu me demandais pourquoi je cachais mes bras , quand je disais que j’étais une baleine , quand je me retrouvais seule , comprend tu pourquoi ?

Et si maintenant je te lisais cela comment réagirais-tu ?

C’est comme ci j’etais délaissé

C’est comme si j’étais délaissé, comme si j’étais toute seule dans un monde qui est trop dur à supporté pour moi. Dans un espace qui ne me convient pas, avec des gens qui ne me comprennent pas. Et des fois quand je regarde au point où j’en suis c’est vrai que j’ai envie de partir, partir ou je ne sais pas mais partir. Pour ne plus avoir à subir la vie, les monstruosités que l’on me fait subir. Oui c’est vrai j’ai plus la force d’avancer, je me suis trop battu et débattu. J’ai tenté de lutter, d’essayer de sourire chaque pour faire croire que tout allait pour le mieux mais ce n’était qu’illusion. J’ai essayé de me persuader moi même que ce n’étais qu’une mauvaise passe et que ça arrivait à tout le monde mais c’est bien plus que ça, c’est bien plus qu’un simple renfermement sur soit-même, c’est bien plus qu’une simple petite solitude. C’est beaucoup plus que tout cela. Alors oui, des fois j’envisage le pire, j’envisage des choses auxquelles personnes ne devrait jamais pensée, auxquelles aucun humain ne mériterait d’avoir à y pensée. Et pourtant il est vrai que j’y pense, chaque jour, chaque nuit remplie d’insomnie. J’ai l’impression pourtant que rien ne s’arrêtera jamais. Ses longues heures de pleures, ses longues heures d’hurlement. C’est cette souffrance perpétuelle qui m’arrache à la vie. Et moi-même je sais que des fois je ne veux plus d’elle. Il faut en arriver à un sacrée point de souffrance pour en arriver là non ? J’ai arrêtée d’y croire, j’ai littéralement perdu pied. Je peux regarder, admirer le ciel pendant des heures, comme une personne inerte, qui n’a plus d’âme. Je passe des heures dans mon lit sans ne même plus penser, juste en constatant le noir qui règne autour de moi. J’ai plus envie de rien. Ni de parler, ni de manger. Accéder à une moindre satisfaction est bien trop dur pour moi. J’ai appris à avoir mal et j’ai surtout appris à vivre avec. J’ai appris ce que c’était la solitude, c’est celle d’être seule en permanence, de se levée sans n’avoir personne à voir, ni personne avec qui parler. C’est la sensation que personne ne nous aime, que personne ne pense à nous, d’être seule face au monde et d’être seule face à nous-même. C’est d’être transparent, aux yeux de tout le monde,  c’est de ne même pas exister pour un regard, de ne même pas se faire remarquer. Personne n’est là, et personne ne cherche à l’être, je ne dois donc pas être intéressante. Pourquoi les autres ont-ils toujours été mieux que moi ? Pourquoi je ne suis pas cette fille si belle avec qui tout le monde voudrait être ? Celle qui sourit pour rien, qui rigole constamment. J’aimerai tout simplement être comme les autres sans me préoccupé de mon poids, être à ma place avec des personnes, avoir des amis, faire la fête. Faire des trucs que tous les gens font. Toutes ses choses qui font rêver. Toutes ses choses qui font que l’on aime la vie, toutes ses choses qui font que l’on appréhende la mort, celles qui font que la plupart des personnes font tout pour la repousser. Mais moi j’ai rien de cela, je subis la vie, je subis chaque moment de mon existence. On m’a détruit, on a fait de moi quelqu’un de maigre, une personne renfermée, une personne qui pleure du matin au soir, quelqu’un qui est angoisser à chaque pas qu’elle fait. Et des fois je me demande comment j’ai fait pour en arriver jusque-là, comme j’ai fait pour devenir la personne que je suis devenu , et ça me fais terriblement mal de revoir comment j’étais heureuse avant.

 

Il s’est dispersé dans l’air

L’amour nous abandonne en chemin. Il faut vivre cette belle histoire, celle que l’on a en rêve, il faut la vivre car c’est beau, car c’est magique. C’est beau d’aimer quelqu’un à en crever, de n’avoir plus envie de rien sauf d’être avec elle, il n’y a rien de plus beau que ça. Que de tomber amoureux par hasard, que de croiser la route de quelqu’un alors qu’on ne s’y attendait pas, il n’y a rien de plus beau que de tomber amoureux en un regard ou en un sourire. C’est des moments de bonheur qu’il ne faut pas laisser. Il ne faut jamais les oublier même si aujourd’hui ils font mal, même si aujourd’hui vous en pleurez jusqu’au point d’avoir l’impression d’en mourir c’est normal, c’est ça l’amour. C’est un sentiment a par, il nous fait autant de bien qu’il peut nous détruire. Mais ses moments vous les avez vécus. Ils sont encrés en vous. Ce sont vos propres souvenirs et vous priez pour en rêver chaque soir, vous rêvez de retourner dans ses bras, là où vous sentiez bien. Pourtant vous vous êtes battu pour lui\elle, mais ils sont partis. Oui. Mais j’ai une question à te poser, aurais-tu voulu renoncer à ce bonheur ? Tu aurais préféré ne pas connaitre le bonheur avec cette personne et ne rien avoir vécu avec ? Pourtant tu l’as connus, tu as eu cette chance que d’autres non pas. Tu as cette chance de découvrir l’amour, le vrai, celui qui ne trompe pas, celui qui se voit dans tes yeux et dans ton sourire. Je ne sais pas si tu aurais préféré ne rien vivre, être vide et te demander encore aujourd’hui ce que c’est l’amour. Des fois on y pense, on se dit que ça nous a fait plus de mal que de bien. Mais même si tu as mal vaut mieux l’avoir vécu que de rien avoir vécu. C’est inévitable de souffrir, mais tu ne peux pas renoncer au bonheur, par peur de souffrance, car tout nous fait souffrir. Tu pleures, mais votre amour ne partira jamais, on ne peut oublier quelqu’un que l’on a aimé et qui nous aimait. Mais des fois il faut laisser partir les choses, il faut les laisser s’échouer, il faut les laisser partir pour que de nouvelles choses arrivent. Pour que de nouveaux souvenirs puissent faire face aux anciens. Il faut juste du temps, du temps pour accepter, le temps ne réparera rien, mais le temps aidera à reconstruire un chemin diffèrent de celui que tu avais avant. On doit juste lui dire au revoir

« Il s’est dispersée dans l’air, mais tu ne le vois guerre, alors regarde autour de toi, même si il n’y a rien et que tu n’aperçois rien c’est tout simplement parce que tu n’es pas capable de le voir. Alors réfléchi et dis quoi tu n’es juste pas capable de voir l’amour qu’il reste autour de toi. »

La force d’une vie

Construis ta vie, construis tes rêves, poursuis tes envies. Ne te laisse pas influencer par tous ses gens qui te veulent du mal, toutes ses choses qui font de toi ce que tu es ,une âme triste qui ère dans un monde sans fin. Une personne qui pleure sans cesse en regardant son reflet. Tu ne mérites pas ça, tu mérites une belle vie. Alors construit là toi. Réalise tes rêves, crée-toi la vie à laquelle tu as toujours rêvé d’avoir. Prends le courage à pleines mains, inspires-toi des personnes les plus hautes et fait en sorte d’arriver à leurs hauteur. Rien n’est facile, il faut s’en donner les moyens. Alors lève la tête, et avance. Et si jamais tu perds confiance en toi, dis-toi que cette force tu l’as en toi, qu’elle est là mais il n’y a juste que toi qui ne l’as voit pas. Accepte tes différences, accepte ce que tu es. Tu ne mérites que le bonheur et pourtant tu te détruis. Ne perd pas ton objectif. Ne lâche pas prise. On m’a appris que l’on n’avait jamais rien sans rien. Moi je sais que tu en es capable, tu es capable d’être quelqu’un, d’être une grande personne dotée d’un mentale d’argent et d’une force en or. Bats-toi pour la vie que tu mérites, celle dont tu rêvais étant enfant, celle des histoires de contes de fées, elles ne sont peut-être pas réelles mais tu peux t’en inspirer. N’oublie pas que tu es juste une jolie fleur qui cherche à s’ouvrir, deviens belle et forte, montre leurs que tu en es capable, fais de tes faiblesses tes forces, fais de tes ennemis des sources de volontés, fait de ta vie un rêve éveillé. Car tu peux avoir tout ce dont tu rêves, il suffit juste d’y croire.

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